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Sportif la quarantaine vous propose séance de bondage à Marseille
Lorsque l’on évoque le bondage, on pense instinctivement à la pratique sexuelle du laçage d’une personne avec des cordes élevé en art par les Japonais. Mais si on ne souhaite pas s’adonner au Shibari mais découvrir tout de même ce que le terme « attacher » renferme, nous vous proposons un panorama des méthodes pour contraindre ses partenaires.
Pas besoin d’avoir fait ses classes de matelot et d’être diplômé en triturage de nœuds pour pimenter sa sexualité, quoique ! Lorsque l’on décide d’entraver les mouvements de son partenaire à travers des jeux de ligotage ou de l’immobiliser, le champ des possibles est beaucoup plus large qu’il n’y parait. On a le choix entre plusieurs cas de figures permettant de bloquer ensemble ou séparément les mains, les pieds, les jambes, le cou, la tête, les parties génitales ou encore tout le corps si l’on veut, d’un seul coup ou de manière progressive. Pour ce faire, tous les moyens sont bons et surtout il y a de quoi satisfaire toutes les envies. Commençons par les incontournables lacets, cordages et autres ficelles qui vous transformeront en rosbifs bien lardés. Ils sont simples à utiliser à condition de veiller à ne pas trop serrer et de demander régulièrement à son acolyte si tout va bien. N’oublions pas qu’une pression trop fermement exercée peut vite laisser des marques, mais surtout risque de priver les membres d’afflux sanguin, ce qui peut provoquer des accidents non désirés. Pour ceux qui préfèrent un aspect plus traditionnel et facile d’accès, les menottes feront très bien l’affaire. Les fétichistes du cuir notamment pourront trouver des panoplies dans la matière de leurs rêves, avec des équipements allant de gants aux poignets avec mousquetons pour relier entre eux les membres supérieurs et inférieurs. Les collectionneurs sortiront l’attirail de rigueur entre carcan, adhésif, cages, chaînes, colliers en métal, barres d’écartement, camisoles de force, ceintures et entraves en acier. Les plus basiques se satisferont d’une écharpe, d’un t-shirt, ou de n’importe quel morceau de tissu, pour vous ficeler à tout pilier ou montants du lit afin de bloquer le moindre de vos gestes. Et il y a les ingénus, les Mac Gyver de l’attachement qui se feront un malin plaisir d’inventer avec un balai, du câble et du scotch, le parfait système pour vous obliger à obtempérer. Quant aux plus aventureux, ils se laisseront tenter par les Vaccum Beds, ces structures qui en aspirant l’air qu’elles contiennent vous momifient dans un sarcophage version seconde peau, qui se moule aux formes de votre corps.
OPPRESSER
Que l’on réveille le tyran ou le tabard qui sommeille en nous, il faut dans ce genre de relations s’assurer au préalable des limites du soumis qui se livre entièrement et définir d’un Safe Word. Ces deux points permettent de cadrer un axe de jeu qui convient à tous, mais surtout qui garantit un maximum de sécurité entre les participants. Que l’on coince un gars dans des fers à un mur, que l’on se fasse enchainer pieds et mains, qu’on lui inflige le port d’un joug tel un bœuf autour de la nuque, des mains, voire des pieds, l’objectif de ces blocages est de provoquer des postures de soumission parmi les plus inconfortables afin d’humilier au maximum. C’est d’autant plus une obligation de premier ordre quand l’empêchement s’applique à la respiration et que la sexualité flirte avec le breath control. L’asphyxie implique une attention toute particulière. Loin d’être anodin, couper l’apport d’oxygène dans le corps peut provoquer des sensations très fortes, on en convient mais aussi des privations pouvant entrainer des évanouissements, des mises en danger voire la mort si l’empêchement est prolongé outre mesure. Il en est de même lorsque l’on sangle le pénis ou les couilles. Il est indispensable d’échanger avec l’autre autour de la pression qui va être prodiguée. Au Master de sentir lorsqu’il peut aller plus loin dans le respect de ses partenaires. Il est préférable de ne pas s’y adonner si on n’est pas sensibilisé à ce trip pour éviter tout accident. N’oublions jamais que le sexe est une histoire d’échange et de partage entre personnes consentantes et se faisant confiance. S’entendre au préalable sur les règles du jeu est la base. Ceci doit rester un plaisir de bout en bout.
S’ABANDONNER
La raison est prudence encore plus quand on aborde les pratiques la sexualité flirte avec le breath control. L’asphyxie implique une attention toute particulière. Loin d’être anodin, couper l’apport d’oxygène dans le corps peut provoquer des sensations très fortes, on en convient mais aussi des privations pouvant entrainer des évanouissements, des mises en danger voire la mort si l’empêchement est prolongé outre mesure. Il en est de même lorsque l’on sangle le pénis ou les couilles. Il est indispensable d’échanger avec l’autre autour de la pression qui va être prodiguée. Au Master de sentir lorsqu’il peut aller plus loin dans le respect de ses partenaires. Il est préférable de ne pas s’y adonner si on n’est pas sensibilisé à ce trip pour éviter tout accident. N’oublions jamais que le sexe est une histoire d’échange et de partage entre personnes consentantes et se faisant confiance. S’entendre au préalable sur les règles du jeu est la base. Ceci doit rester un plaisir de bout en bout.
Alors avant de finir arrimé à des pitons en mode perçage chamanique ou suspendu comme des cochons, prendre le temps de découvrir des plaisirs simples des contraintes plus terre à terre, mais moins hasardeux est une bonne entrée en matière. D’autant que l’éventail est suffisamment grand pour que l’on puisse se faire lacer et enlacer sans se lasser. Pour ce qui est des sensations, celles-ci sont partagées autant par les bourreaux qui acculent leurs slaves au gré de leurs plaisirs personnels que les captifs qui s’honorent d’endurer les sévices de leurs gardiens. L’imagination d’être retenu décuple l’excitation, les fantasmes se libèrent, l’obligation fait son œuvre : elle astreint à se donner à l’autre, sans retenue. Et si l’on rajoute à l’équation la charge du lieu dans lequel on se fait attacher, les méninges se mettent en surchauffe et l’orgasme frappe à la porte. Accroché sur une croix de Saint André, chevillé à un radiateur, relié à des chiottes, les bras étirés, la queue écrasée, les mains ligotées dans le dos, enchainé à d’autres mecs dans le même état en guise de punition ou seul dans une backroom telle une offrande, les schémas sont multiples et infinis. Une petite précision avant de vous laisser vous amuser : rassurez-vous sur le coût du matériel ! Pas besoin de dépenser des fortunes pour se métamorphoser en parfait Master. Il suffit de s’y connaitre un tant soit peu en bricolage pour créer le matériel de base. Après si l’on cherche à acquérir des accessoires dédiés, on file dans les sexshops pour se constituer un trésor de guerre et assouvir ses délires. Et pour ceux qui souhaitent faire de leur antre, un donjon de torture avec un esclave à disposition ou élever un cheptel de larves obéissantes, vous pouvez aussi vous diriger vers les spécialistes comme Rexx qui pourront créer le matos de vos rêves sur mesure. Bonne baise !

Extrait video OFFERT par Hard Kinks