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 Dépucelage de mon cul par un Marocain de rêve Histoire gay publiée le 25/03/2024
Je vais vous raconter mon plan qui devait juste être un plan soft qui a fini en dépucelage de mon cul. Cet été j’avais rencontré un bogoss marocain sur un tchat. Il était magnifique un corps de rêve, un visage de rêve et une queue de rêve ! 22cm de pure marocain avec des couilles énormes. On avait parlé quelques jours après on s'est rapidement vu mais en journée sans rien faire car je partais le soir même. Histoire juste de se voir et de savoir vraiment comment on est en vrai. Après ça, pratiquement tout l’été on a parlé ensemble tous les jours sur snap etc. Franchement il me faisait rêver de fou ! Juste en snap il me rendait dingue. Alors en réalité ça devait être quoi ! Mais après les vacances j’avais décidé de faire une pause, pour me consacrer à mes études et j’ai fait l’erreur de le supprimer. J’ai bien vite regretté cet erreur car pendant des mois j’ai essayé de le retrouver, mais en vain. Mais par chance, il y a quelques jours j’ai retrouvé son snap on s’est rajoutés parlés etc. Il me propose un plan directement le jour d’après. Un plan soft vu que j’étais vierge, à ce moment là. Le jour arriva, on fait nos vies etc. Je me prépare bien et j’ai même préparé mon cul sans savoir ce qui allait arriver. A 22h il passe me chercher en bas de chez moi pour aller se trouver un coin tranquille ou se poser. Il roule pendant 15 min et il trouva un coin bien sombre avec autour, que des champs et rien d’autre c’était parfait ! De là on se pose directement à l'arrière de la voiture pour avoir plus de place. On se galoche vite fait et vraiment il galoche comme un roi ! De là on se met direct nu on sent la chaleur monter etc. Je prend sa queue directement en bouche et de là il m’attrape le cou et commence à me faire faire des gorges profondes. C'était devenu mon maître à partir de ce moment là. Il me dominait comme un fou ! J’en pouvais plus j’étais à deux doigt de vomir mais je kiffais tellement ça. De là il m’attrape le cul et commence à me le claquer j’adore ça ! Je gémis comme une vraie chienne. Et de là il me rentre un doigt, puis deux et trois doigts. Je criais de plaisir comme une vraie chienne à son maître. Et je pouvais bien crier on était solos. Et il m’a dit de monter sur lui juste histoire de frotter ma rondelle sur sa bonne grosse queue. De la je commence à bouger mon cul de salope sur cette grosse queue et d'un seul coup sans me prévenir il prend sa queue et me la rentre dans le cul!
 Je suis devenue leur salope Histoire gay publiée le 03/04/2024
Salut moi c'est Jimmy, le patron de bar et le boss de Liam. J'ai toujours été attiré par les mecs, tout particulièrement les rebeux. Je commençais de plus en plus à m’intéresser aux hommes. Un soir dans mon bar entrent deux mecs un rebeu magnifique et un pote de mon jeune serveur. Il leurs sert à boire, je me mets dans la cuisine et les mattes discrètement. Je pouvais observer les deux mecs biens musclés transpirant. Ce jour là, j’étais à coté d'un pur bogoss rebeu. Lui je l'avais déjà repéré depuis un moment, 1m80 brun musclé sec avec un short qui avait l'air bien rempli. Je décidais de revenir au bar, en m'installant devant lui pour bien lui montrer mon cul. J'étais en chaleur. Je n’arrêtais pas de le regarder. Il parle à l'oreille de mon serveur et éclate de rire. Il me regarde dans les yeux, j'ai du mal à soutenir son regard. Je suis troublé, putain de mec, il me chauffe, je sorts à l’extérieur du bar, il me suis. Je vois une énorme bosse dans son caleçon ma bite grossit instantanément. J'essaie de me dissimuler avec mon blouson. Il s'en aperçoit, il s’approche de moi et me dit à l'oreille "c'est moi qui te fait cet effet petite salope ?" Je ne réponds pas. D'un coup il me plaque contre le mur et me dit "réponds-moi salope". Tu crois que je t'ai pas vu me regarder depuis tout à l'heure. Aller dis le que t'a envie de ma bite. "Oui j'en ai envie. "Ah voila enfin le patron de mon pote qui assume d’être une "une grosse lope et un bon vide couilles à rebeu". File ton numéro salope dans 30 min je t'envoi mon adresse et tu te pointes chez moi après la fermeture de ton bar" "Ok" OK qui ? oui maître. J’étais si excité à l' idée d'aller chez lui et en même temps j'avais un peu peur. Car il avait l'air très domi. Tu m'offres les boissons. Aller ciao salope à plus ! 30 min plus tard je reçois son adresse. Je me rends chez lui, il m'ouvre en boxer et me saute dessus. On s'embrasse je lui mange sa bouche humm ll c'est trop bon. Je sent sa bite gonfler. Putain que c'est gros ... Je me met à genoux et sort ce monstre 23cm/6 hummmm. Je lui bouffe la teub comme une salope. J'entends derrière moi un rire. Putain mon serveur, je suis rouge de honte "Je me doutais que mon boss était une salope à rebeu". Allez suce " mon serveur me prends la tête et m'oblige à sucer et à prendre la bite du rebeu en gorge profonde et je manque de m’étouffer, et d'un coup il met ses mains sur ma tête et il m'impose la cadence, le beur me défonce la bouche. Putain que c'est bon. J'ai les larmes aux yeux . "Allez suis moi dans mon lit salope" mets toi a 4 pattes et avance petite chienne". Je sais pas ce qui m'arrive je lui obéis et j'aime ça. Je rentre dans sa chambre, il s'assoie sur son lit et me dit de rester a 4 pattes. Il me donne ses pieds et me dit "lèche salope" pendant que mon serveur me bouffe le cul. Putain j'en peux plus. Mon rebeu me met son pied dans la gueule je recule un peu car j'ai jamais fais ça. Il le met un coup de pied et insiste. Je finis par lui lécher ses ieps. " voila salope tu es faite pour ça. Tu es à la bonne place sale salope. Allez viens me sucer "Je le suce comme si ma vie en dépendait pendant ce temps mon serveur me met ses doigts dans le cul. Je suis excité comme un fou. Il me lèche le trou, putain que c'est bon! Il me remet 1 puis 2 doigts dans mon trou vierge, mon rebeu me met deux doigts. "Putain tu es serré salope. Tu vas te faire dépuceler par un bon rebeu par ton maître ma salope. " D'un coup je me sens comme transpercé. J'ai mal. Il y va doucement. Je commence à m’habituer . Les va et vien sont puissants il accélère la cadence. Il me défonce comme un dieu, je gémis comme une salope. T'aimes ça hein salope? Mon serveur me baise la gueule en me travaillant les tétons. Putain elle est trop bonne la chatte de ma patronne. "Oh oui défonce moi". Je me sens comme transpercé putain que c'est bon. Mon corps tremble et je jouis sans même me toucher, que c'est bon, mon serveur me jouit sur la gueule. Il prends mon sperme avec ses doigts et me fait lécher. Mon maître rebeu sort de mon trou et me met sa bite devant mon visage et éjacule 5 jets puissants, j'en ai partout. Avant de partir il me met à genoux et il me dit maintenant tu m'appartiens et avec mon serveur ils me pissent dessus . Maintenant tu es à moi ma salope Quand je veux me vider tu viens salope. Depuis ce jour je suis devenue leurs salope.
 Le goût de soumission Histoire gay publiée le 07/04/2024
Bonjour, je suis un homme de 61 ans, 1.80 m 120 kg, Passif. Mon fantasme : être ta chienne, ta salope, sucer à la chaîne des bites. J'avais décidé de me lancer et de réaliser mon fantasme de soumission. Alors prenant mon courage, j'ai rédigé cette annonce et l'ai posée sur plusieurs pare-brise de voiture du foyer des travailleurs immigrés, boulevard du fier à Annecy. Le matin même, fébrilement, j'allais consulter ma boîte et hélas toujours rien. Ce n'est qu'au bout de trois jours que quelqu'un me répondit. Après quelques échanges de mails, de photos et d'une conversation téléphonique afin de nous assurer de la véracité de nos dires, il me donna rendez-vous un vendredi soir sur le parking devant le stade. Il me disait s'appeler Ahmed, il avait 35 ans et recherchait un passif assez soumis pour le baiser et après, le faire baiser par deux ou trois autres. J'étais très excité et m'étais bien branlé en pensant à cette aventure malgré l'appréhension de me retrouver à poil avec des mecs que je ne connaissais pas, et à l'idée de me faire sodomiser à la chaîne sans vraiment avoir de prise sur le déroulement de la soirée. J'arrivai juste à l'heure. C'était assez désert ce soir, il n'y avait pas de match. Très vite, un homme s'approcha de ma voiture. Il est assez baraqué. Il ouvre la porte et s'assoit rapidement dans la voiture, à côté de moi. De suite, il sort sa queue et me prend la main pour que je le branle, ce que je fais avec plaisir. Il a une queue de taille et d'épaisseur moyenne. Après un bref instant, il devint plus autoritaire " Suce moi salope ! " Je commence à le prendre en bouche mais dans la voiture, c'est vraiment pas évident et loin d'être confortable. J'y vais doucement mais en essayant d'en mettre le plus possible dans ma bouche. Il m'appuie brutalement la tête en avant et me met sa bite au bien au fond de la bouche et je manque d'étouffer. " Allez ! À fond chienne ! " Et il m'imprime un mouvement rapide de succion. Je l'avale de plus en plus, descends et remonte le long de sa tige, j'adore bouffer de la queue. Il grogne, m'insulte, j'adore. Puis après 5 minutes, il m'appuie à fond la tête, s'enfonce en moi et je sens son foutre m'inonder la bouche. " Avale tout grosse pute ! " Ce que je suis obligé de faire, ne pouvant me relever ou recracher tant sa bite est enfoncée dans ma bouche. " Tu es vraiment une bonne salope, on va passer aux choses sérieuses. Fous-toi à poil. " Je m'exécute, ce qui n'est pas chose aisée dans cette voiture, mais mes vêtements finissent sur la banquette arrière. Il sort soudain un petit sac avec des cordes et une laisse. Je me fais attacher les mains avec le cou. Puis il m'entrave de la laisse, il tire fortement dessus, mon visage se plaque contre lui, ce qui me coupe un peu la respiration. " Tu es à moi maintenant. Tu as voulu faire la pute. J'ai tout organisé tu vas en prendre de la bite, chienne. " Il sort de la voiture, m'obligeant à des contorsions pour sortir de son côté tout en évitant de me faire trop étrangler. J'ai un peu peur, me voir ainsi à poil dehors sous les ordres de ce mec. Heureusement, il ne faut que 30m pour aller jusqu'à l'entrée de l'immeuble. Notre entrée déclenche la lumière et c'est tout honteux que je le suis dans les escaliers déserts. Arrivés au deuxième étage, changement de décor, il y a du monde. J'ai un mouvement de recul et tente de me cacher mais les attaches de cordes m'en empêchent. De plus, mon mac tire sur ma laisse, m'obligeant à avancer, courbé en avant, mettant ainsi mon gros cul laiteux bien en évidence. Alors que je passe à côté de ces mecs, je suis peloté, fouillé des fesses, les commentaires salaces fusent. Il me fait entrer dans sa chambre et m'oblige à me coucher en avant sur la table centrale. Dans cette position, j'ai le cul à la limite de la table, ma queue est écrasée sous moi et ma tête se retrouve menton relevé à l'autre bout. Il vient ensuite positionner une espèce de coussin sous mon bassin et, en me ligotant les chevilles aux pieds de chaque côté, il offre bien en évidence mon cul à ses visiteurs. Les questions d'argent ayant été sûrement réglées à l'avance entre eux, c'est plusieurs mecs qui entrent pour profiter de moi. Je les suce à peu près 30 secondes chacun, à peine une queue sort de ma bouche qu'une autre y entre profondément. J'ai même parfois du mal à respirer. Je fais exprès de laisser couler des filets de salive de ma bouche. Je suis le centre d'intérêt et j'adore ça. Ils me mettent leurs couilles au niveau de la bouche et j'ai leur queue contre mon visage, c'est encore plus impressionnant avec certaines grosses queuePendant que je suce, je sens des mains qui me caressent les fesses puis un me caresse le trou du cul. Un doigt s'enfonce brutalement dans mon cul. Je suis en train de sucer deux queues, chacune leur tour, pendant qu'un troisième me doigte profondément. Il me fouille le cul tellement il va dans des endroits que je ne soupçonnais pas. En face, les deux m'enfoncent tous les deux leurs queues dans ma bouche en même temps. J'ai la bouche toute distendue mais j'adore ça. Le mec derrière moi arrête de me doigter. Je sens sa queue venir appuyer contre mon anus et enfonce sa queue jusqu'à ce que ses couilles touchent mes fesses. Je ressens une douleur pendant que le gland me pénètre. Il commence ses allées et retours sans même s'inquiéter de ma crispation et des mes suppliques d'y aller mollo. Il me lime pendant quelques minutes en prenant appui sur mes hanches pour bien s'empaler à fond. Puis un autre demande à m'empaler. L'autre laisse sa place, ce nouveau venu me tire alors vers lui jusqu'à ce que sa queue soit tout entière dans mon cul, j'ai un peu moins mal. Au bout de quelques minutes, il accélère le mouvement et pour la première fois, je pousse des petits cris, je commence prendre plaisir du cul. Un autre me bascule la tête en arrière et me met sa queue dans la bouche. Je le suce goulûment, c'est le pied. J'ai au minimum toujours trois bites autour de moi, je passe de l'une à l'autre, ils me tiennent la tête et me baisent la bouche en me traitant de salope. Maintenant je suce deux queues. J'ai donc deux bites dans la bouche et une grosse dans le cul. Le mec qui m'encule augmente le rythme et surtout enfonce sa queue au maximum. Il est penché en avant, il me tient les épaules et me met d'énormes coups de bites. J'ai mal mais le plaisir et tellement grand que je prends mon pied. Ceux qui étaient dans la pièce après avoir tous joui, soit sur mon visage, sur mon dos, voire dans ma bouche, se retirent. Et d'autres entrent et ils se mettent tous sur moi. Ils me baisent dans toutes les positions mais encore plus fort. La douleur est plus grande mais le plaisir aussi. Ils font tout pour enfoncer leur queue le plus profond possible, ils s'appuient de tout leur poids sur leur bite, je suis littéralement empalé. Des bites plus grosses que d'autres agrandissant mon cul à chaque passage. Ils se déchaînent et me baisent par tous les trous. Maintenant j'en peux plus, la douleur de mon cul, ouvert à vif, se réveille. J'attends que ça se finisse, j'ai plus de salive et ce n'est pas facile de les sucer, alors je les branle mais tous veulent finir dans ma bouche ou dans mon cul. Mon cul plein de sperme fait un bruit terriblement excitant à chaque fois qu'un mec me lime et puis surtout, ça coule le long de ma cuisse. Je suis plein de sperme car de grandes giclées me tombent sur le nez, les joues et la bouche. Justement, j'entrouvre la bouche pour que le sperme coule doucement à l'intérieur. Toutes ces éjacs sur un visage, ça fait beaucoup de sperme. L'un d'entre eux m'étale le sperme partout sur le visage avec sa main; c'est chaud et bon. Finalement, j'ai vraiment pris goût à cette soumission et je me suis fait niquer avec plaisir.
T’ES NOTRE MEUF ET ON TE FISTE Vidéo gay. Durée: 14 min
 Le rebeu du Bois de Vincennes Histoire gay publiée le 15/04/2024
Cette histoire est totalement vraie et m'est arrivé hier. Dans ma vie quotidienne, je ne suis pas efféminé. En me regardant, c'est difficile de savoir à quel point je kiffe la bite et comment je trouve ma vraie place à genoux devant une teub bien raide. Mais quand j'ai devant moi un vrai mâle, je deviens une vraie salope bien affamée qui ne demande qu'à se faire remplir encore et encore. Et ma faiblesse, évidemment, sont les rebeus. Quand un maître arabe fait de moi sa femelle, c'est là que je trouve le sens de ma vie. Revenons à l'histoire. Vers 22h j'étais passé au Bois de Vincennes pour prendre ma dose de jus de rebeu, et je m'avais déjà fait remplir la chatte par un marocain et la bouche par un autre mec. Passé minuit, même si j'avais toujours faim et soif, il n'y avait plus rien d'intéressant donc j'étais sur le point de rentrer chez moi, quand je vois un beur bien beau gosse, environ 1m80, barbe de quelques jours, regard assez sombre et habillé en survet noir, se diriger à pas décidés vers le lieu plus fréquenté pour draguer. Je fais demi-tour et je le suis. Il arrive au coin, traverse entre les arbres, passe d'un chemin à l'autre et continue sans faire attention à personne. Je le croise et essaie de capter son attention, mais sans succès. Le mec sort de l'autre côté du secteur et continue sa route comme s'il ne cherchait rien. Je décide de le suivre et j'accélère afin d'essayer de passer devant lui. Il se dirige vers une partie assez sombre et solitaire du bois, je marche quelques mètres derrière lui, il ne se retourne pas. J'accélère, je passe à côté, on se regarde mais genre normal, comme on regarde n'importe qui dans la rue. Aucun geste, aucun signe. Je continue à marcher vite afin de gagner une distance de quelques mètres devant lui, et continue à marcher. On continue comme ça environ 5 minutes. À un moment donné je me penche en faisant semblant d'ajuster mes chaussures, bien cambré pour le chauffer. Il est environ 4 mètres derrière, mais il ne dit rien, même pas un son. Je passe de droite à gauche du chemin, je croise d'un côté à l'autre, ne suis même pas sûr qu'il est intéressé, mais je continue en faisant attention à ne pas trop m'éloigner. Je vois un endroit assez discret, séparé du chemin principal et où il y a des banquettes, donc je m'y dirige. Le mec me suit, c'est bon, j'ai la confirmation. Je m'assois sur un banc, le mec s'assoit à côté sans rien dire, sans même me regarder, et écarte bien les jambes. Je n'ai pas besoin de plus de signes, je me mets direct à genoux entre ses jambes et commence à toucher sa bite, déjà molle. Je la sors du survêt et la mets dans ma bouche, et je la sens durcir au max. Un bon morceau, on dirait environ 18 cm et bien grosse. Le mec se laisse faire, la tête penchée en arrière, les yeux fermés. Il kiffe ma pipe et je m'applique en gorge profonde. Après quelques minutes, il me prend entre ses bras, me mène au niveau de sa tête et commence à me rouler des pelles. Qu'est-ce qu'il embrasse bien ce mec ! Je sens sa langue partout. Il est bien passionné, en même temps il touche mes fesses et me caresse partout. Sa bite va exploser. Je le suce encore un peu, après je descends mon pantalon, me retourne et m'empale sur sa teub. On est dans un parc et on s'en fiche. Il me baise et je sens ses couilles taper forte contre ma raie. Je me lève et lui dis de me suivre, on va derrière un arbuste et je lui demande de me baiser. Il ne se fait pas supplier et me défonce comme il faut. Je sens son corps contre le mien et ses coups bien au fond de moi. Au bout de quelques minutes, il me demande doucement à l'oreille si je veux son jus dans moi, et évidemment je réponds oui. Je sens sa teub se raidir et son jus me remplir complètement. Il me donne encore quelques coups et finit par sortir sa bite. Je me mets à genoux direct pour la nettoyer, et je vois avec surprise qu'il bande encore. J'avale les dernières gouttes de jus et je continue à lui sucer, et le mec ne s'arrête pas et m'enfonce sa teub dans ma gorge. Je posse sa mans derriere ma tête et il comprend, il se défoule et me pilonna la bouche encore quelques minutes. Après il se sépare, range son matos dans son pantalon, me sourit et me dit d'un ton amical : "ça a été sympa", et se barre sans même se retourner.
Baise en forêt Vidéo gay. Durée: 16 min
 Les deux potes (la suite) Histoire gay publiée le 15/04/2024
Comme expliqué lors du précédent chapitre Mohammed et Samir ce sont occupés de me faire couiner pendant leur séjour dans le sud. Après la fameuse nuit dans leur hôtel, j’ai revu mes deux arabes un soir sur une plage de notre département où ils voulaient faire un bain de minuit… A l’heure du rendez-vous, en pleine nuit, j’ai rejoint les deux mâles sur la plage où ils étaient déjà nu et couchés sur leur serviette. Personne en proximité pour nous déranger. Je me suis mis à 4 pattes entre les deux mâles et j’ai commencé à pomper les deux bites en me disant que j’allais passer un bon moment à 3 comme la dernière fois. Pendant que je pomper, Samir utilisé son portable pour me filmer. Je lui fis la réflexion et il me dis : t’inquiète pas ! c’est pour deux autres potes vacanciers qui vont arriver… Je commençais à paniquer. Mohamed sentis que j’étais perturbé et pour me détendre me galocha en me disant tu vas kiffer on veut juste s’amuser… Il me demanda de chevaucher sont 22/5… ce que je fis… Samir me donner à téter pendant que je sauter sur la bite de Mohamed. D’un coup, un flash de téléphone se rapproché. c’était leurs potes. 2 blacks bien gauler qui à peine arrivé me fis pomper leur bite. J’étais à cheval sur la bite de Mohammed et 3 bites devant ma bouche. Les deux blacks avait des engins assez long…23/24 cm je pense. Samir eu l’idée de demander à chacun de se coucher et j’ai eu l’ordre de chevaucher chacun à tour de rôle… C’était formidable… il y avait alternance de moment tranquille avec galoche pour que je m’habitue aux engins et des moments où ils soulevaient leurs bassins à fond pour me déboîter. Après 15 min de se traitement, un des blacks me serra contre lui et a demander à son collègue de venir le rejoindre dans mon cul….je paniquais et je lui dis que ça aller être impossible avec leur monstre. Il sortit une fiole de Popers de sa sacoche et me dis de sniffer pour me détendre…. Une fois dans les vapes les deux ont commencé à forcer mon cul… mon anneau céda avec un cri qui sortie de ma bouche. Pour éviter trop de bruit, Mohamed m’étouffa avec sa bite…Samir filmait la double pénétration. Cela dira pendant 10 min et les rôles ont changé. Les deux arabes dans mon cul et les deux blacks alternant dans ma bouche… D’un coup je sentis les rebeux se vider dans mon cul, les deux blacks se masturber pour me gicler sur le visage. Après cette baise intense, nous sommes allé se baigner nu dans la mer pour se rincer. Ensuite nous avons discuté, et j’ai compris le besoin de sexe chaud qu’avaient les mecs de quartiers.
 Ma première fois… avec un rebeu de ma classe Histoire gay publiée le 29/03/2024
Ma première fois… Je m’appelle Raphaël, j’ai 20 ans et j’habite dans le 06. Quand j’avais 18 ans, j’avais ce mec dans ma classe, Yaniss, qui était super beau et musclé. On se parlait parfois, mais on avait jamais fait de sortie ensemble, ou quoi que ce soit. Un jour, en sortant des cours il pleuvait, et comme j’étais pas loin de lui, il m’a entendu appeler ma mère pour lui dire que j’allais prendre le bus. Bizarrement, il est venu vers moi et m’a proposé de me ramener chez moi, vu qu’il avait une voiture sans permis. Après avoir hésité, j’ai accepté en le remerciant. Alors qu’on avançait sous la pluie pour aller à sa voiture, l’eau rendait son t-shirt blanc de plus en plus transparent, et je voyais ses tétons percer à travers le tissu… Je n’osais pas le regarder trop longtemps de peur qu’il remarque. En m’asseyant dans sa voiture, j’attache ma ceinture et on commence à parler. Il me raconte sa vie, j’aimais bien discuter avec lui, entendre sa voix grave, l’écouter me parler de lui… alors qu’on se connaissait à peine ! A un moment, il me demande si j’ai déjà été en couple, alors j’ai répondu que oui avec une meuf, mais que j’aimerais bien tester avec un mec. Et c’est la qu’il m’a répondu que lui aussi ! Pour rigoler j’ai dit « on devrait essayer » mais apparemment il l’a pris au sérieux… Il a commencé à poser la main sur ma cuisse, et j’ai tout de suite paniqué. C’était nouveau pour moi ! Quand il m’a vu stresser il m’a dit de me calmer et bizarrement, sa voix m’a calmé immédiatement. Je me sentais protégé, à l’aise. Dans les embouteillages, il a essayé de se garer à la première place qu’il a trouvé et il a baissé nos sièges. Je voyais la bosse sous son jogging grandir, et l’excitation montait. Il a baissé son pantalon et m’a pris par les cheveux. Quand je suis arrivé au niveau de sa queue, j’ai commencé à sucer sa queue circoncise, à commencer par son gland. Je sentais sa bite grandir dans ma bouche, et j’accélérais les va et vient. Je l’entendais gémir, et je sentais mes poils se dresser sur mes bras. A un moment il a passé sa main dans mon caleçon et m’a malaxé le cul, et ma dit de m’asseoir sur lui. J’ai écarté mon cul et après il m’a mis sa teub dans mon trou. Je commençais à monter et descendre, et je sentais mon cul se resserrer autour de sa grosse queue. Elle devait faire environ 16 cm, 16cm de pur plaisir !! Dans un souffle et un gémissement si viril, j’ai senti son sperme couler dans mon cul, le jus bien chaud dégouliner sur mes fesses. Après m’avoir embrassé longuement, il a remis son jogging et a pris mon snap (il m’avait jamais ajouté alors qu’on était ensemble sur le groupe de classe…) Depuis, on se revoit souvent et je prends toujours autant plaisir à chevaucher sa queue.
Grosse bite de rebeu Tahar pour un cul Vidéo gay. Durée: 21 min
 Mon bogoss de tanger Histoire gay publiée le 01/05/2024
Wesh les amis ça va ? Le rebeu lyonnais est de retour. Je vous raconte la suite de mon plan sur Tanger avec mon petit marocain bogoss skynni avec bon zeb. Le kiff, on a fini sous la douche on c'est lavés séchés, on c'est posé dans le salon, d’ailleurs très beau salon marocain dans la pure tradition marocaine. Bref on est posés, on discute, on rigole puis il me regarde et me dit, j’ai envie de te baizer. Je lui dit go, on fait çà, du coup on va à la chambre on s’embrasse, il embrasse super bien, il a des lèvres exceptionnelles, un sourire de fou. Je descends doucement le long de son torse, bouffe ses tétons. Je sens à travers son caleçon qu’il bande comme un fou. Moi pareil, il me relève m’embrasse me mange les téton et me retourne. Il se colle à moi je sents son zeb à travers nos caleçons et en même temps il me mange le cou derrière l’oreille et l’oreille aussi. Je suis comme un fou, il se frotte et moi je me cambre, il me jette sur le lit et je me mets à quatre pattes comme une salope sur le lit. Il déchire mon caleçon et me l’arrache puis écarte mon cul et le bouffe littéralement. Je gémis tellement il s’y prend bien. Il accompagne son bourrage de cul par de bonnes grosses fessées. Je kiff de fou il me bz avec sa langue puis se relève et frotte son gros zeb moi je continue à bien donner mon cul. Il bifle mon cul plein de sa bave, je me retourne tjr à quatre pattes pour bouffer son zeb en gorge profonde, il kiff sa race. Il en profite pour préparer mon cul, il crache sur ses doigts, étale sa bave sur mon cul et me met des doigts profond, un puis deux. Il les sors, recrache dans sa main et recommence un puis deux puis trois. Je gémis de fou je suis en folie. Il me retourne, agrippe mes hanches d’une main et crache dans l’autre pour astiquer son zeb puis agrippé l’autre main et dirige son zeb vers mon trou et me pénètre doucement je sens son zeb m’ouvrir la chatte je gémis de douleurs et de plaisir mais j’en ai tellement envi que je le laisse faire sans faire de grimace je lui demande de continuer et là y me dit putin tu as tout pris hummm je gémis je lui dit que c trop bon il reste profond comme quelque instant et me relève pour m’embrasser je suis comme un dingue et comme on est en kiff pendant qu’il m’embrasse il commence ses va et viens c trop bon mon cul mouille de fou ils s’ouvrent plus de douleur que du plaisir je gémis pendant il m’embrasse il lache ma bouche et me dit à l’oreille tu es trop bon toi je lui répond fais toi plaisir zine et la il commence une bz je pense que jamais on la baise comme sa intense énergétique mais un plaisir y tape bien ou il faut comme il faut je mouille du cul il me bz et accélère crenchendo je suis au max du plaisir il accélère et qd je suis sur lépoint de jouir de fou il ralenti je kiff je sens ma mouille couler entre mes cuisse il me bz à 4 patte pendant 20 min puis sors et me retourne il m’embrasse encore bien baveuse je lui dit continue bz moi stp et y me répond oui habibi je vais te bz toi et que toi il la remet je gémis et il y va il pousse mes jambes au niveau de mes oreilles ce qui lui donne le champs libre sur mon cul et aucun obstacle et il se fais pas prier il tape de plus en plus fort ses coup de zeb résonne encore plus fort dans la pièce mon cul coule de mouille il sors entièrement et rerentre plusieurs fois je suis comme un fou et il continue il me bz profond et fort puis d’un coup il reste au fond de mon cul et donne des coup court mais bien au fond je gémis de fou je lui dit de continuer et là sans prévenir je me met à gémir et je gicle des quantités de sperme de fou j’en ai plein le torse se qui déclenche chez lui une ejac de fou il sors son zeb de mon cul qd il sent que sa va sortir à peine sorti de mon cul il a peiné à relevé son zeb qu’il m’en fou partout jusqu’au cheveux je le cul ouvert plein de mouille et je suis rempli de sperme je suis en kiff et lui s’écroule tellement il est ko son explose de rire et il me dit t’es trop bon toi et cool je lui repond’làmm chose in reste allongé 10 minute puis on va se lave on sors de la douche il me donne un caleçon propre à lui on s’habille et je l’invite à manger depuis on est rester en contact et ceci tous les jours on se parle c'est un bon mon bg de Tanger
 Qui tente rien n'a rien Histoire gay publiée le 28/04/2024
C'est la première fois que je raconte mon expérience dans un blog mais vu ce qu'il s'est passé, je me sentais un peu obligé de devoir le partager. Tout d'abord, je suis un mec bi de 23 ans et mes proches (famille et amis) sont au courant. Je suis toujours étudiant tandis que la plupart de mes potes travaillent déjà. L'histoire ici concerne un pote avec qui je ne suis pas le plus proche mais il y a un très bon feeling. On s'est rencontré lors de mes études à l'université. On était pas dans la même section, en faite je suis dans un groupe d'ami dans lequel se trouve sa meuf. C'est donc par elle que je l'ai rencontré. Il est plus âgé que moi (29 ans) et est un beau rebeu bien viril et bien costaud (pas spécialement musclés mais une corpulence assez massive). On va l'appeler Mehdi. Avec lui, on avait déjà eu quelques discussions, notamment quand je lui ai avoué que j'étais bi. Il m'a dit que lorsqu'il avait mon âge, lui-même pensait être bi et avait déjà tenté avec un mec. Malheureusement son expérience n'était pas satisfaisante et il se considère maintenant plus comme hétéro. Avec sa meuf, ça se passe super bien, cela faisait déjà 4 ans qu'ils étaient ensemble et ils venaient d'emménager dans un appartement dans lequel, nous (groupe d'amis) nous réunissons de temps en temps pour nous amuser, faire des soirées, etc. Par rapport à la personnalité de Mehdi, c'est quelqu'un qui me ressemble : assez calme et mature mais avec des moments un peu impulsif. Le courant entre nous deux passe très bien et je sens qu'il est assez attentionné envers moi malgré le peu de contact qu'on ait, peut-être qu'il se voit un peu en moi ? Bref, maintenant venons-en aux faits. L'histoire s'est déroulé il y a trois semaines, durant un week-end. La meuf à Mehdi était partie avec les meufs de notre groupe en séjour au sud de l'Espagne. Elles sont parties le vendredi matin tandis que Mehdi, un autre pote et moi allions profiter de la journée. Mes deux potes avaient pris congé et moi j'ai séché mes cours ce jour-là pour faire une journée entre mecs. Nous sommes aller faire un tour en ville, faire les magasins etc. On a été mangé au resto puis le soir s'amuser dans une boite. (Ah oui, à préciser que Mehdi n'est plus musulman depuis quelques années bien qu'il vienne d'une famille religieuse). En boite j'ai un peu abusé sur l'alcool comme Mehdi qui se trouve généralement assez vite en état d'ébriété avec peu d'alcool. Seul mon troisième pote n'a pas bu car il conduit et est parti plus tôt car il devait faire quelque chose le lendemain au matin.Il était vraiment tard quand Mehdi et moi sommes sortis de la boite. Comme j'habite encore chez mes parents, je ne voulais pas rentrer seul à cette heure tardive et dans cet état. Mehdi m'a alors tout de suite proposé de dormir chez lui. Sans hésiter j'ai accepté. On s'est donc rendu dans son appart. Là bas on a un peu discuté de tout et n'importe pendant une heure en buvant de l'eau en abondance, le temps que l'effet alcool redescend. À la fin, je lui ai proposé mon aide pour installer le canapé lit, mais il rigolait et m'a dit que je pouvais dormir à côté de lui dans son lit double sauf si cela me gênait. J'ai accepté et on s'est déshabillé. C'est la première fois que je le voyais en sous-vêtement. C'est vrai qu'il avait une corpulence assez imposante et j'étais surpris de constater le peu de poils qu'il avait sur le ventre et les pecs. Lui part contre était étonné de voir la masse poilue sur mon corps. Je lui ai dit que j'avais hérité ça de mon côté espagnol. On a continuer à se mater quelques secondes jusqu'au moment où je tombe sur son caleçon. Il portait un boxer qui laissait transparaitre une belle forme de gland. Bien évidemment il était circoncis. C'est alors que je sentais ma bite bouger, je ressentais une certaine excitation quant à la scène comme je suis bi. Je me suis vite retourner pour pas qu'il remarque et je me suis couché dans le lit avec la couverture. Je me demandais si lui, comme ancien bi, il ressentait aussi de l'excitation. Après je me suis quand même souvenu qu'il avait une meuf qui était quand même une de mes potes. Mais en faite, ça m'excitait encore plus. Là ma bite était en érection totale. Mehdi me demandait si je voulais me doucher avant et me laver les dents mais je lui ai menti en disant que j'étais trop fatigué pour me relever. Il se balada dans son appart pour prendre un essui et retira ses chaussettes devant moi. D'un coup une odeur forte frottait mon nez. Lorsqu'il vit ma réaction il s'excusa en disant qu'il transpirait souvent des pieds et qu'il puait souvent des pieds. C'est pourquoi il allait prendre sa douche. Ses chaussettes puantes étaient au sol devant mon nez. Il aurait pu quand même les mettre à la manne. D'un coup une idée me passa par la tête. Je ne sais pas pourquoi mais en entendant l'eau de la douche coulée, je me suis jeté sur ses chaussettes et je les ai senties. L'odeur m'excitait tellement. Pourtant je n'étais pas spécialement fétichiste des pieds, mais sachant que cela appartenait à Mehdi, ça m'excitait grave. Lorsque je n'entendais plus l'eau couler, je me suis vite recouché j'ai fait semblant de dormir. Bien évidemment mes yeux étaient légèrement ouverts. Mehdi sortait de la salle de bain et s'approcha du lit. En voyant que "je dormais" il enleva son essuie. Bien que je voyais un peu flou, j'ai pu apercevoir sa belle bite. Pas très grande mais bien épaisse (finalement comme sa corpulence). Ma bite était bien levée et je me la touchais discrètement sous les draps. Il mit son essuie à sécher, ne faisait toujours pas attention à ses chaussettes et alla de l'autre côté du lit. Je suppose à ce moment là qu'il a mis un boxer et s'est couché. Je ne sais pas pourquoi mais, dans le doute, je me suis légèrement cambré, sachant que mon cul se trouvait de son côté. Il éteignit la lumière de sa lampe. Avant de m'endormir réellement, j'avais pensé à plein de scénarios érotiques avec lui dans ma tête. Puis à un moment je me suis endormi et c'est là que j'ai fait un rêve très étrange. Je me souviens pas de tout le rêve, mais seulement d'un moment. C'était avec Mehdi, on avait fait ensemble une expédition puis il retire ses chaussures et là il s’exclame en disant que ça pue. Puis il me demande si je veux sentir. Alors je me penche vers ses pieds avec des chaussettes trouées et je sens puis d'un coup je commence à lécher. Il retire vite son pieds et m'engueule puis il met ses pieds dans un sac. (Si quelqu'un sait analyser les rêves et me dire la signification, je suis preneur). C'était la première fois que je faisais un rêve érotique de ce genre. Ensuite, le matin j'ouvre mes yeux. J'étais un peu déçu que ce n'était qu'un rêve au final. Je vois que Mehdi était déjà réveillé et faisait du bruit dans la cuisine. J'attends que ma gaule de matin redescend et puis je le rejoins. Il me demande si tout allait bien et me faisait un café. Il était en peignoir et m'a dit que je pouvais prendre le deuxième qu'il a dans sa penderie, chose que je fais. Dans la chambre j'ai remarqué qu'il n'y avait plus ses chaussettes et qu'il avait mis ses chaussures à aérer. J'étais un peu dég, j'aurais bien voulu ressentir son odeur de pieds. Je le rejoins à table sur laquelle se trouvait ma tasse de café et à manger. C'est alord qu'il engagea directement la conversation en me disant que je bougeais beaucoup la nuit et que je tirais souvent la couverture. -Tu as fait un cauchemar ? Me demande-t-il. On en vient déjà aux faits. Que dois-je lui dire. J'ai pris mon courage à deux mains et je lui ai dit plus ou moins : -Tu vas trouver ça bizarre mais j'ai fait un rêve où on était parti en treck tout les 2. Puis tu as retiré tes chaussures et tu m'as demandé de sentir tes pieds qui puent. Je pense que j'ai été traumatisé par ton odeur de pieds hier. -Oui désolé pour ça, j'ai oublié de mettre mes chaussettes dans le panier à linge, peut-être que l'odeur a pénétré tes narines pendant que tu dormais ! J'ai rigolé (je pense plus par gêne) mais au moins je lui ai raconté mon rêve étrange et il a l'air de ne pas l'avoir mal pris (en même temps je suis pas aller au bout de ce qu'il s'est passé) -Mais du coup tu les as sentis dans ton rêve ? enchaine-t-il. Alors là, j'étais supris. Je ne savais pas quoi lui répondre. Mais comme un débile j'ai hoché de la tête en disant oui. -Ah ouais je comprends mieux le côté bizarre du rêve maintenant ! Mais je te rassure maintenant mes pieds ne puent pas. Il dit ça en mettant un de ses gros panard sur la tard à quelques centimètres de moi. Son pied était pas très grand (je dirai qu'il fait du 42 ou 43) par contre comme sa bite, bien gros. -Vas-y tu peux sentir ! dit-il -Bah non je te crois t'inquiète. Mais même en lui disant sa, je faisais mine de baisser ma tête et je sentais ses orteils. Même après s'être lavé hier, une légère odeur persistait. Puis d'un coup il leva son pied et le plaqua sur mon visage. Mon réflexe n'a pas été de retirer tout de suite ma tête mais au contraire de renifler et de donner quelques petits coups de langues comme dans le rêve pendant peut-être 3 secondes. Puis j'essaye de retirer ma tête mais il colla son pied encore en rigolant. Moi pendant ce temps j'essayais de faire une mine dégoûtée mais je profitais pour sentir et sortir ma langue. Le contact était tellement excitant ! Puis il finit par retirer son pieds. Pour essayer de ne pas me faire cramer je fis semblant d'être dégouté. -Beurk Mehdi c'est vraiment dégueulasse mais oui ça sens un peu mieux que dans le rêve. -Un peu mieux, tu exagères quand même ! Je suis content que tu considères ça comme un rêve plutôt qu'un cauchemar. Là je me suis un peu braqué mais Mehdi avait vraiment un sourire sur le coin. -C'est bon, tu peux me l'avouer que t'es en kiff sur moi, je suis pas dupe. J'ai bien aimé ton bout de langue sur mon pied. Forcément j'ai nié les faits en lui rétorquant qu'il se faisait trop de films. En même temps j'étais surpris de sa réaction. Il ne semblait pas remonté alors que normalement ça aurait dû être le cas. Cette situation était lunaire. D'un coup, il termina sa tasse de café, se leva et me dit : -Viens me rejoindre sur le lit on va s'amuser un peu. Je me lève et je proteste en lui disant qu'il était en couple et que je me sentais pas spécialement à l'aise. -Ça restera entre nous et puis c'est pas du sérieux. Puis, toi aussi tu m'excites en vrai donc on pourrait bien se partager un petit plaisir entre mecs tu penses pas ? Il me convainc et je le suis direct dans la chambre. Il s'allonge sur le lit et ouvrit légèrement son peignoir. Son boxer affichait une belle bosse qui grossissait. Je me mis au pied de son lit et je commence à renifler ses pieds. -Vas-y lèche-les moi, me dit-il. Sans hésiter je commençais à sortir ma langue qui se frottait sur la plante de ses pieds. J'allais de bas en haut puis je m'occupais de ses orteils. Je lui bouffais son gros orteil et je le suçais en lui faisant des tourbillons de langue dans ma bouche. -Ouah, c'est la première fois qu'on me lèche les pieds, je devrais demander à ma meuf de faire de même la prochaine fois. Vas-y passe ta langue entre mes orteils. J'exécute ses ordres tel un chien. Ça s'est fait automatiquement mais je me suis soumis à ses ordres alors que de base je ne suis pas spécialement passif. La partie entre ses orteils était la partie qui sentait le plus chez lui. Je passais ma langue orteil par orteil. Il était en plein extase et il commença à se caresser la bite. Ses pieds étaient complètement mouillés par ma langue et brillaient c'était tellement excitant que je commençais à me toucher la bite à mon tour. D'un coup il commença à coller ses pieds sur mon visage et j'ai essayé de débattre comme tout à l'heure. Puis il arrêta et se redressa sur le lit. -Viens sur le lit. Lorsque je le rejoins sur le lit, on commença à se caresser le corps. On ne s'embrassait pas mais on se faisait des bisous sur le cou, le torse, le ventre pour garder un côté sensuel. Puis il me retourna sur le dos et cette fois-ci c'est lui qui s'occupa de mes pieds. Il les sentit et les lécha comme je l'ai fait. Ça me chatouilla énormément et je gigotais. -Toi aussi ils sentent tes pieds. Pour arrêter de gigotter, il plaqua un de ses pieds sur mon visage et je le lécha. Cette fois ci, je retire ma bite de mon caleçon et je commençais à me branler. Il arrêta de lécher mes pieds et suça ma bite. J'étais un peu pris de court, je ne m'attendais pas à ce qu'il se jette sur ma bite comme s'il était affamé. -mmmh putain c'est bon ça, tu suces trop bien pour quelqu'un qui n'a eu qu'une expérience avec un mec. Sur mes encouragement il s'appliqua encore plus. Il tenta quelques gorges profondes et englouti mes 17 cm tout en laissant une masse de salive. -Maintenant occupe toi de mes couilles, lui dis-je. Il goba mes couilles, les lécha et les massa avec sa bouche tout en branlant ma queue. C'était beaucoup trop excitant au point que je ne pouvais pas m'empêcher de déjà cracher la sauce sur sa gueule. -Merde je suis désolé ! -Ah ouais ça t'excite à ce point ? dit-il en continuant de sucer ma bite. Prend un mouchoir sur ma table de nuit et essuie moi. Je fais ce qu'il me demande et en l'essuyant nos regards se croisent continuellement. On ne pouvait pas s'en empêcher, la tension était trop grande. On commença à s'embrasser langoureusement. On se donnait des coups de langue. À ce moment-là j'avais tellement envie de le défoncer et je pense qu'il avait la même pensée vis-à-vis de moi. Il s'allongea sur le dos et je me mis sur lui. Je commençais à faire des bisous sur son cou, puis son torse et je descendis jusqu'à son boxer. Je fis de petits bisous sur la bosse qui n'arrêtait pas de gonfler. Puis je retire son boxer et je vis une grosse demi-molle. Je tâtais son gland et ses couilles. Il commença à me caresser mes cheveux. Sa bite grossissait de plus en plus jusqu'à être en érection totale. Elle devait faire à peu-près 15 ou 16 cm mais (contrairement à la mienne) elle était très très épaisse. Comme si je compare un concombre à une aubergine. -Vas-y suce moi, dit-il. Je m’exécute et goba sa belle bite bien épaisse. Elle était incroyable. Pas trop dure, un peu moelleuse. J'essayais de lui faire quelques gorges profondes. Il m'enfonça la tête pendant quelque seconde puis me releva. J'avais un filet de bave énorme. On se regarda et s'embrassa langoureusement. On continua comme ça pendant quelques dizaines de minutes puis on a pris la douche. On a passé la journée ensemble et on s'est acheté des capotes et du lubrifiant. Le soir on a recommencé avec des sextoys et cette fois ci on a pratiqué la sodomie. Sa bite m'a bien élargi le trou du cul que j'ai eu du mal à m'asseoir pendant quelques jours. C'était une expérience incroyable et assez lunaire, comme quoi qui tente rien n'a rien. Ça fait 3 semaines que sa meuf est revenue, mais on sait qu'un jour, on se retrouvera pour recommencer notre petit plaisir secret. Je tiens à préciser que cette histoire est bien réelle ce qui la rend encore plus excitante. Je reviendrais ici si jamais il y a du nouveau avec Mehdi. J'espère que vous avez pris beaucoup de plaisir à lire mon expérience ;)
 Soirée trash Histoire gay publiée le 22/04/2024
Hier soir j’ai servi de lope et de vide couilles au trash de Marseille en bas dans la salle, deux mecs m'ont attaché les poignets. Il m’ont forcé à mettre mes nike tn neuve des tn de mon anniversaire dans la poubelle du backroom. Ils m’ont dit t'inquiètes pas, ils vont te les baptiser au jus, je me suis retrouver en cho7 et toute la soirée ils m'ont limé la bouche et le cul. J’avais au moins 15 spermes différents dans le cul et c’était pas fini. J’ai vu un rebeu super beau bien monté qui m'a fixé du regard toute la soirée. Il a dit purée tu encaisses grave toi et j’ai vu tesi tn dans la poubelle elle ont pris cher. Là on discute et j’ai trop envie de finir au bout de sa bite alors je le suce pendant au moins 20 min. Il me fait sentir ses tn utility noire et ni une ni deux il commence à me déboîter le cul. J'étais tellement lubrifié au jus que ça glissait tout seul. Il m’a pris dans toute les positions. J’ai sniffé ses skets à donf, cette odeur de mal m'a exité grave j’avais ma teub dans sa sket pendant qu’il m’enfonçait, j’ai réussi à jouir dedans en 10 min. Il était vénère car il voulait pas, ses skets pleine de jus. il m’a insulté ma race et au bout de 1 h il c’est vidé sur ma gueule tient prend ça salope ! Il m’a remis sa teub dans le cul dégoulinant de jus et c’est essuyé le gland sur mes cho7 et j’ai avalé son jus chaud. Il m’a ordonné de nettoyer ces skets avant de les remettre. Le kiff ont doit ce revoir, miam on a échangé nos 06 et moi j'ai remis mon jogging et mon t-shirt qui traîné plus loin bien tâché. En partant j'ai remis mes tn dans la poubelle qui avait servi de vide couilles et il y avait au moins 20 capotes pleines dedans et d’autres où le jus avais coulé dedans et des mouchoirs ou les mecs c'étaient essuyés le gland. J’ai enfilé mes tn malgré toute la purée. J’ai mis les cho7 qui collaient dedans. Je vous dit pas le soir quant je les ai enlevé à la maison, l’odeur était hard des tn noires neuves refaites au jus d’au moins plusieurs mecs j’avais le cul démonté aussi. J’ai dormi comme un bb direct et j’ai gardé les cho7 au pieds puantes salies au jus.
20 ans après
Au collège, Gilles d’origine italienne était très gentil et très beau avec ses cheveux châtains clairs… 20 ans après, l’homme est magnifique avec son gros cul à pervertir l'hétéro que je suis. Première conjonctivite de ma vie un dimanche après midi, je rentre dans sa pharmacie et lui demande un produit sans ordonnance. Je lui demande de me mettre les gouttes dans les yeux et il engage la conversation sur nos vies respectives. Excité par ses formes malgré le sable dans mes yeux, je me mets à bander comme un chien en rut: il le remarque et me demande si j’ai besoin d’autre chose…Je lui dis que je reviendrai le payer en liquide quand ma vue sera revenue. Le Dr Gilles a un regard très lubrique et me dit de rentrer me soigner. 15 jours après, je rentre à nouveau un dimanche dans sa pharmacie de garde en le remerciant de m’avoir fait crédit. Il me propose un café dans son bureau et me dit vouloir être payé en nature. Dévoue à ce pharmacien musclé, je me mets à poil et lui tends ma bite de fer qu’il lèche vigoureusement. Je l’encule à sec en mode Broke Back Mountain: il gueule pendant 10 minutes et je lui tasse mon jus bien au fion. Il me dit que la prochaine fois, il me dépucellera aussi violemment: rendez-vous est pris au printemps…
Extrait video offert par DomiAddict
AU CUL DU CAMION
Les routiers restent un fantasme collectif. Derrière leur volant, ces mecs rodés à la solitude ne rechignent pas à un peu de compagnie lorsqu'une aire de repos se présente. Récit en roues libres… Je dois vous faire une confidence, je suis accro aux routiers. En fait tout a débuté lors d'un départ en vacances. Le besoin irrépressible de faire une pause sur une aire de repos d'autoroute pour remplir de carburant ma caisse et en profiter pour m'alléger la vessie se sont fait sentir. Je gare ma bagnole et file fissa aux toilettes. Vous savez ces toilettes d'enseignes marchandes qui jalonnent les autoroutes françaises devant lesquelles des centaines de personnes s'agglutinent aux heures de pointes. Me voilà donc coté urinoir avec cette satisfaction presque jouissive de me faire du bien juste en urinant. Un mec un peu bourru, hirsute, à la gueule massive s'installe à côté de moi. Il est sacrément charpenté, tout en muscles. Il sort son engin de son calbute, un joli machin bien épais, et commence à pisser. Ni une, ni deux, il me mate la queue pendant que je finis mes affaires. Il a vu que je l'ai remarqué. Mais ne s'arrête pas pour autant. Ses yeux puent le cul. Au lieu de tout remballer, je le laisse reluquer sans broncher. J'ai la teub au garde à vous. Il a compris. Il sort des chiottes sans passer par la case lavabo, ça m'excite encore plus, il doit avoir les mains sales. Il me lance un regard plein de sous-entendus. Ni une ni deux, je le suis à distance pour ne rien laisser paraître. Rester discret est gage de succès assuré. GÂTERIES DIURNES Sur le parking, il se dirige vers la partie réservée aux poids lourds. Il grimpe dans l'un d'entre eux par la porte côté passager de la cabine qu'il laisse volontairement ouverte. Une invitation à découvrir son intérieur ? Je jette un coup d'œil aux alentours, escalade les marches et me faufile dans l'habitable. Il est là, le falzard sur les chevilles, le chibre gonflé en train de se palucher. Je lui gobe en fond de gorge, je m'en étouffe presque. Curieux, mes yeux passent en revue à chaque va et vient sur sa tige raide qui dégouline d'un mélange de pré-cum et de salive, l'espace qui constitue son quotidien de routier. Le gaillard est hétéro 1000%, pas de doute possible. Des photos de nanas dans des postures explicites recouvrent l'arrière du poste de pilotage. Le mec est bien dans sa masculinité débordante, il est le maitre en son royaume. La porte du camion n'est pas fermée, il semble s'en battre les couilles qu'on puisse le voir, il a faim. Me voilà à poil à travailler sa queue goulument. Il me doigte allégrement sur le siège. Tout le monde peut nous voir de l'extérieur, ça me rend plus bâtard que jamais. Il ne dit aucun mot, ses gestes parlent pour lui. Il me retourne sans ménagement dans l'étroitesse de son camion et m'encule. Ce n'est pas la première fois apparemment qu'il s'amuse ainsi. Il joue avec moi. J'en prends pour mon grade. Ça ne dure pas très longtemps, mais j'ai l'impression qu'un régiment m'est passé dessus tellement il y est allé. ACTION EN STATIONS Cette aventure aurait pu être anodine, mais étrangement elle a déclenché en moi l'envie de réitérer l'expérience encore et encore. Depuis, lorsque je fais un arrêt sur un de ces refuges pour camionneurs, je ne peux m'empêcher de me mettre en mode chasseur. Voir ces rangées de camions énormes, alignés les uns à côté des autres en épis, les moteurs encore chauds pour certains me titillent l'entre-jambes instinctivement. Ce qui est un fantasme pour beaucoup est littéralement devenu un passetemps, voire une addiction pour moi. Ce sont en général des mecs loin de leur famille, peu regardants, près à bafouer leurs convictions pour cracher leur purée après des jours d'abstinence dans des bouches gourmandes et des cul serrés. Dans ces machines qui engloutissent des milliers de kilomètres par an, j'ai pris l'habitude de satisfaire les besoins naturels de leurs conducteurs. J'aime l'odeur qui se dégage de ces antres blindés d'hormones masculines. Je me donne corps et âme à la tâche, je ne rechigne pas, ils ne sont pas là pour ça et le font bien comprendre. Les draps un peu crades de leur lit, les effluves de chaussettes fumantes après une journée de conduite et les relents de transpirations qui charpentent ce lieu contraint est ultra attrayant. De véritables backroom mobiles qui cachent des mystères, du foutre et de la testostérone. Je ne sais jamais à qui j'aurai affaire lorsque je pénètre dans leur réduit, mais je ne suis jamais ressorti déçu, et eux toujours vidés jusqu'à la dernière goutte. RÉCRÉATION LUDIQUE Le charme de l'inconnu guide mes pulsions. Je suis très souvent sur la route pour des missions professionnelles et maintenant, ces plans anonymes font partie de mes déplacements. Quelle que soit l'heure de mes escapades, je déniche toujours une ou plusieurs bites au moins à sucer, un cul à bouffer, un barreau pour me bourriner bien profond. Jamais rassasié, je connais leurs habitudes, je les observe et provoque les rencontres. J'aime tout particulièrement les zones peu fréquentées qui ne sont dotées que de toilettes publiques rudimentaires un peu hors d'âge ou de quelques tables de piquenique. L'ambiance se prête à des enfilades sauvages. Tout comme ces espaces boisés qui bordent les places de stationnement réservées aux poids lourds. Et oui, ils ne font pas que se taper des kilomètres les conducteurs de transports routiers, je vous rassure. La solitude du job est l'opportunité de quelques sorties de routes bien agréables. Après des heures passées à piloter leurs gros engins vient le temps de la pause. Celle-ci d'un total de 45 minutes par tranche de 4h30 de conduite consécutive, oblige chaque mec à un temps d'arrêt afin de se relaxer avant de reprendre leur chemin. C'est aussi le moment parfait pour des plaisirs fugaces. FÉROCE APPÉTIT D'autant que je pensais être le seul accro à ces histoires sans lendemain jusqu'au jour où j'ai découvert en ligne, une communauté d'afficionados du genre, mélangeant commerciaux, étudiants et voyageurs. Les routiers nous utilisent, savent nous trouver eux aussi. C'est entendu dans le milieu. Ils se passent les infos des recoins qui fourmillent de bons petits mecs à dispo. Il existe même sur Twitter un compte RoutiersGay qui référencent les différents points les plus actifs, avec la population que l'on y croise, où ça fornique et les précautions de sécurité pour ne pas se faire repérer. Mis en permanence à jour avec une carte très précise, je m'en sers pour définir mes parcours et mes balades sexuelles. Je me délecte de passer de camion en camion, tel un glouton qui va bouffer à tous les râteliers. Je dois avouer que la simple idée que ce soit un routier plutôt qu'un mec lambda me met en transe. J'aime ce genre de gonze. Les chauffeurs me connaissent avec le temps et m'utilisent sans concession, se refilant le tuyau du bon passif que je suis. Désormais, ils s'appliquent à me turbiner entre deux remorques à plusieurs. Je ne dis jamais non, à quoi bon ! L'appréhension d'être surpris en plein ébat, le côté volé de ces instants de stupre et de luxure renforce chaque cabriole. Puis une fois avoir joui, les pantalons se remontent, on reprend sa place, les clefs de contact font démarrer les moteurs, repus et satisfaits… jusqu'à la prochaine halte. Abdel
BRANLETTE SUR CHATURBITE Histoire gay publiée le 20/02/2024
Je suis cho, comme d'hab et je me taperais bien un petit cul. Je me pose devant mon Mac et je vais tchater sur chaturbite.fr, histoire de voir s'il y'a un cousin à choper. Ca fait un bail que j'ai pas tchaté et je découvre que sur ce tchat gratos, les mecs peuvent laisser une vidéo perso. Je défini mes critères de sélection et je me retrouve avec une dizaine de beaux keums qui s'exhibent dans leur webcam. Ca va du gros teubeur qui s'astique le zeub en gros plan devant sa cam à la petite lopsa qui fait bouger son petit cul pour exciter les mateurs. Mmmm ça commence à me chauffer tout ça. Je tombe sur le profil d'un céfran qui se filme pendant ses plans baises et qui les fait tourner en visio sur le site. Le keum est actif passif, avec une bonne teub et sur ses 2 vidéos on le voit une fois en train de se faire baiser par un gros kebla qui lui déchire le boule et sur l'autre vidéo, c'est lui qui se fait pomper par un rebeu. Il me faut pas longtemps pour glisser la main dans mon survêt et commencer à me palper les boules. Ma teub durcit et se dresse en moins de deux et j'ai plus qu'à passer en mode manuel. Si je suis un nikeur de nature, jouer les mateurs c'est pas pour me déplaire. Surtout quand j'ai la flemme de bouger et qu'il faut que je me soulage le zboub. Le zob bien décaloté, je m'astique comme un ouf devant mon écran, imaginant le bon plan que je pourrai me taper avec tous ces keums bien excités. Je flash au final sur un rebeu anonyme qui donne son gros morceau de 22cm à mater en branle. Une putain de bonne queue halal que je prendrais bien dans ma bouche. Le cousin s'astique et on l'entend soupirer de kiff et je me branle en calant mes mouvements de poignets sur les siens. C'est comme si on se paluchaient ensemble. D'un coup on voit ses boules remonter et il asperge ses beaux abdos bien dessinés de grosses giclées de yop en gueulant comme un porc. Trop puissant le cousin ! Il me faut pas longtemps pour faire la même chose sauf que moi c'est un mouchoir qui se ramasse mon jus de lascar bien chaud. Waouh ! Quel kiff cette branle express sur les écrans de chaturbite. Du coup j'en profite pour envoyer un mail au rebeu de la vidéo qui m'a bien excité. J'attends sa réponse pour passer à du concret et du réel mais ça, c'est une autre histoire.
Extrait video offert par DomiAddict
Ce Dominant de 33 ans, appelé AUTORITAIRE, m’a joint par mail après avoir repéré une de mes nombreuses annonces
J’ai tout de suite accepté avec enthousiasme sa demande de rencontre, me promettant d’être tout de suite autoritaire, sévère et sans scrupule ! Il exigeait que je fusse, dès la 1re fois, son objet sexuel total, à sa disposition pour être totalement humilié et soumis, lui servant en plus de vide-couilles efficace. Il ajoutait, très sûr de lui, que c'est mon statut de larve sexuelle qui m’obligeait à venir le servir dès que je le pouvais ! Je me suis rendu près de Beauvais à l’adresse indiquée. Voici le récit aussi détaillé que possible de cette séance, là encore assez mémorable ! J'arrive chez lui, sonne à la porte. Aussitôt, il ouvre, me regarde un instant et beugle sourdement : "Salope, enfile ton collier de clebs et ta laisse". Je prends le collier tendu par Le Maitre (LM) et le mets à mon cou. Il ajoute fermement : « Que tu te sentes bien soumis et que tu comprennes que tu n’es qu’une « pute exhibe » en dressage ! » Puis il y attache une laisse, prend la laisse en main et un sac dans lequel se trouve (je le constaterai après) le matériel nécessaire pour me dominer et me Bdsmé ; ensuite, il me tire dehors en disant : "Allons en forêt que je profite de toi, chienne" ! Je précise que c’était l’année dernière, à peu près à la même époque, mais lors de belles journées un peu moins fraîches qu’actuellement. On monte dans la voiture mais avant que je démarre, alors que LM me tient toujours en laisse, il exige : "Sors tes couilles et ta bite de ton pantalon. Tu vas rouler ainsi comme une putasse soumise au service de son Maitre". Je réponds : "Bien Maitre", et je m’exécute aussitôt, ouvrant mon pantalon, sortant totalement mes couilles et ma bite et les exhibant complètement. Nous roulons vers la forêt jusqu'à l'endroit où il veut aller pendant qu’il m'explique que : "Tu m'es totalement soumis, totalement prêt, extrêmement et totalement ouvert pour moi, j'use et abuse de toi, Salope, je t'humilie et te baise brutalement quand je veux, où je veux et avec qui je veux ! » C’est clair, net et précis… Toutefois, vous l’avez compris, j’en ai l’habitude car je ne suis qu’une larve ! Je dis : « Oui Maitre » et il ajoute : "Je fais avec ta bite tout ce que je veux et ton trou du cul je l'utilise de quelque manière que je la juge appropriée, y compris l'insertion d'objets ou les doigts, tant que c’est sans danger. Je t’humilie rituellement pour te rappeler ton statut d’esclave. Le reste de ton corps est aussi totalement à la disposition de ton Maître." Encore une fois, respectueusement, je réponds Oui et je vois que Mon Maitre est satisfait. Alors il me tape plusieurs fois sur la bite et les couilles, sans trop forcer car je conduis. J'aime beaucoup. Arrivé sur les lieux, Le Maitre me dit : « À poil intégral ! Histoire de te sentir bien lope à dispo ! » J’enlève vêtements puis chaussettes et baskets, les range dans le sac en plastique qu’il me tend et qu’il glisse dans la voiture, me prenant les clés. Je suis pieds nus, à poil total. Mon Maitre me réexplique une fois de plus : "Évident qu’un soumis doit être nu. Surtout les pieds car c’est la marque de sa dépossession totale. La nudité est de rigueur pour un soumis/esclave afin d'être entièrement ouvert aux désirs des Masters. » C’est limpide et explicite ; je n’ai qu’à m’exécuter, où qu’on soit en intérieur comme en extérieur. LM sort du sac un ensemble menottes et corde et, rapidement, il m’attache les bras dans le dos et fixe le tout au collier, tirant bien dessus pour que j’ai les bras bien remontés et que ça me tire sur le cou. Et c’est parti pour la déambulation dans la forêt : il me fait marcher ainsi, murmurant : "J'aimerais bien qu'il y ait un ou deux voyeurs pour que je t'exhibe et t'offre à eux pour bien te loper". J’articule : "Bien sûr, Maitre". LM ajoute : "N'aie pas peur, ils mettront une Kpote et te gicleront sur le visage car je n'ai pas envie de mettre en danger mon matériel !". Je réponds : "Je suis en effet ton objet Maitre. Je marche difficilement, j'ai mal aux pieds. Heureusement, au bout de peu de temps, dans une sorte de clairière herbacée, Le Maitre dit : "Ça suffit. Arrête-toi". Puis il ajoute : - « À genoux, putasse de merde et renifle-moi la bite comme un bon clébard que tu es… ». Il ouvre mon pantalon et plaque ma tête sur son slip ; je renifle bien. Il m’avise : "Ma larve, avec tes dents, descends mon slip et renifle ma bite". Je m'exécute encore, bien servile. Puis je dois lécher par petits coups sa bite, puis l'embrasser. Sa teub est maintenant bien dure et grosse, fière et imposante, une belle queue d’environ 19X6 ! Je me dis que lorsque je vais avoir ça dans la bouche et dans le cul, je vais le sentir passer ! Mais, là encore, j’adore et je suis là pour ça ! - « As-tu froid ? », demande-t-il ; je ne me rappelle même plus de ma réponse mais juste de la sienne : « Je m'en fous, tu resteras ici à poil jusqu'à ce que tu aies rempli ta mission de salope soumise et vide-couilles ». Là, au soleil, sa verge est bien érigée... D’un seul coup, il plaque ma tête sur ma bite raidie pour bien montrer que c’est lui qui commande. Toujours sans broncher, car je suis une lope soumise et une bonne salope, je le lèche, donne des coups de langue, pompe alternativement selon ses désirs et ses ordres, tirant sur ma laisse. Parfois il enfonce sa pine jusqu’à m’étouffer ; je salive vigoureusement et ça fait bien glisser sa bite dans ma bouche bien chaude ; la bave dégouline sur mon menton et mon corps de pute à dispo pour lui. Il sort de ton sac des pinces à linge et me les pose sur les seins, ma bite et mes couilles et dit :"ça va bien t'exciter ça ma salope !". Puis il continue à réclamer que je le suce longuement jusqu’à écœurement : je suis un bon slave, capable de sucer jusqu’à en dégueuler. Il râle : "J'adore gorge profonde et avec toi, je ne vais pas me gêner. Te ferai dégueuler moi, suis ton Maitre. » Il exige aussi que je lèche ses fesses et les mordille, lèche son gland doucement avant d’encore enfoncer brutalement sa queue dans ma gueule. Il crie : - « Salope, je considère ta bouche comme une chatte et te baise ta gueule de putasse... Tu vois p'tit bâtard… t’es là que pour faire la pute et t'as intérêt à avoir un bon rendement… » Sortant sa bite de ma bouche alors que j'étouffe, il se met à me claquer la gueule et me bifler en disant : "Dis-moi ce que t'es, Salope ?". Aussitôt je vocifère : « Suis une salope à machos, une putasse soumise bonne qu'à faire le tapin. » Alors il tire à fond sur la laisse et me met un bon coup sur les fesses. - « Oui ma pute et quoi encore » ? - « Je suis une lopette et une salope à routiers, une putain d’esclave et une chienne obéissante, une chaudasse exhib, Maître », et je prends encore un coup sur le cul, ceci une dizaine de fois, toujours en disant merci. Quand il voit que mon cul est assez rouge, LM me détache les mains et me fais mettre à 4 pattes ; je suis sa chienne qui déambule un peu dans l'herbe. Il crie : "Pisse sale chienne" ; alors je lève la patte et pisse comme un bon toutou qui fait ses besoins. Il rigole et m'insulte encore ! Après ce traitement, n’y tenant plus et sentant sa sève monter, il entreprend de m’enculer, me titille le cul, un doigt à sec, puis 2 et voyant que je m'ouvre bien, un 3ème et je couine comme une truie comme il me l’ordonne. - « Putain ! T’es vraiment une bonne salope toi… tu t’ouvres bien ma chienne… t’as envie de te faire enculer, hein salope… ? » Il m'ordonne de mettre le préservatif sur sa queue, puis pose sa bite à l'entrée de mon cul, moi toujours à 4 pattes, bien cambré, le cul offert. Après il me demande, en me tirant par les cheveux, si je sais ce que l'on fait aux salopes impuissantes comme moi ? Je réplique que non et il m’explique : « On les encule comme des gonzesses ! », en m'enfonçant d'un seul coup sa bite dans le cul ; il me baise brutalement à grand coups dans mes fesses, me traitant de salope impuissante, de morue, de putain à routiers, de trou à bites, etc., tout en me tirant par les cheveux et en me claquant les fesses. LM m'encule un bon moment... puis s'arrête soudainement. "Allez la pute, debout", dit-il, en tirant brutalement sur ma laisse. Je me lève et il me force à me pencher contre un arbre. D'un coup de pied, il me fait écarter les jambes, m'attache les mains au tronc puis me met un bâillon. LM tourne autour de moi en m'insultant et en me pinçant alternativement les seins, la bite, les fesses ou en me les claquant sec et même parfois me tordant la queue. J’ai mal mais j’aime être traité de la sorte. Il hurle : "Bastard de merde, t'adore être dominé, salopé et humilié, non ?" Soudainement, LM m'arrache le bâillon qu’il vient de me fixer. Il tient à ce que je réponde et m’avilisse encore plus ! Je murmure : « Oui Maitre… surtout devant d’autres voyeurs qui se moquent de moi et de ma situation de salope impuissante et même me brutalisent… » - « J’entends pas bien, Chienne de salope. Répète plus fort ! ». Alors je gueule : « Oui Maitre… surtout devant d’autres voyeurs qui se moquent de moi et de ma situation de salope impuissante et même me brutalisent… » - « Encore plusieurs fois et plus fort ». Je beugle la même phrase plusieurs fois jusqu’en avoir mal à la gorge. Je sens LM ravit. - « T'es qu'une larve qui ne sait plus que se comporter comme une bonne salope à ma disposition. » En même temps, les claques, les pincements et les coups pleuvent sur mon corps. - « Réponds à ton Maitre Putasse ! » Alors, je crie : « Oui, Maitre, j'adore, encore Maitre ! » LM continue : « Confesse-toi, grosse merde, et explique-moi pourquoi t'es une larve et un sous-homme ? » Alors j’énonce lentement : - « Petit à petit, je suis devenu de plus en plus passif et soumis… enfin totalement obéissant et incapable d'avoir un rôle dominant ou actif. Maintenant, je ne suis qu'une putasse prête à offrir à qui le veut ma bouche et mon cul pour servir de vide couilles, à lécher, à être attaché et puni même sévèrement ; on joue avec mon sexe, mes couilles et mes tétons et, si tel est le plaisir des Vrais hommes, on me féminise… Ils peuvent m'humilier avec des jeux pervers et imaginatifs, me pisser dessus, m'exhiber, me transformer en pute docile qu’on met à disposition de ses amis ou d'autres... » LM dit : « J'aime pouvoir te donner les consignes et que t'exécutes sans moufter. » - « Oui Maitre, je suis là pour ça ! Je dois servir pour toutes les pratiques de BDSM que vous souhaitez : Bondage, Domination et Soumission, Punition, Exhibition, Humiliation, Douleur et Contrainte, et Appartenance. Je suis votre soumis total, à votre entière disposition ; je suis prêt à m'offrir pleinement et à obéir à tous vos désir et ordres quand vous le voulez, où vous le désirez, avec qui vous le souhaitez ; vous décidez presque tout pour moi. » LM susurre : - « Ah, j\'aime entendre ça, ça me refait bander bien dur, Pute de merde ! » Le Maitre a de nouveau sa verge ragaillardie : forte et dressée ; à cet âge-là, ça revient vite, je me le rappelle et me souviens que j’étais capable de baiser 2 fois de suite les femmes à cette époque, les traitant comme des vide-couilles à mon service d’obsédé du sexe. Il s'installe derrière moi et m'encule encore durement et longuement. Il m’embroche comme une vulgaire putain tout en me claquant le cul ; il me lime furieusement comme pour tester mon endurance aux coups de bites... Il braille : - « Couine, ma truie, j'aime les putes qui se lâchent bien… » Je couine comme une petite chienne bien servile envers son Maitre. Les hanches du Maitre sont maintenant collées à mon postérieur. - « Tu la sens ma bite, grosse salope ? Tu sens comme je t’encule à fond ? » Il est profondément planté en moi un long instant puis se retire lentement. Son pénis bandé au maximum palpite en face de mon orifice distendu et il me tient fermement par les hanches. Mais tout de suite il se replace et sans attendre, il s’enfonce en moi violemment. Je pousse un cri, plus de surprise que de douleur. - « T’aime ça hein ma pute ? Ça t’excite de te faire enculer comme une truie ? T’es une salope hein ? Dis-le que t’es une grosse salope et que t’aimes que je te bourre le cul ! » Je voudrais pouvoir me masturber comme un dément en encaissant les terribles coups de bélier de mon Maitre. - « Oui c’est ça ! », se met à hurler LM, « Serre ton cul, salope ! Essore-moi les couilles, charogne ! » Il s'arrête enfin et me détache : - « À genoux la chienne ! » Il retire le préservatif, m’appuie sur les épaules pour que je me mette à ses pieds et crie : - « Suce à fond crevure ! » Il me tire durement par les cheveux pour m'enfoncer sa queue dans la bouche ; puis il me saisit la tête avec ses deux mains et me maintient ainsi jusqu'à ce que je sois au bord de l'étouffement complet ! Ça m’a paru fort long mais, enfin, il sort sa bite, la frotte sur ma figure et finit par éjaculer tout ton sperme chaud (j'adore cela) sur mon visage. En gémissant, il m’ordonne d’étaler son foutre sur toute ma gueule et de rester ainsi avec le jus sur moi. Au bout de quelques instants pendant lesquels il a récupéré, il me dit : - « Bon, ma crevure, il s'agit de te nettoyer un peu maintenant ! Et de plus j'ai envie de pisser. Tends-moi ton visage de chienne soumise. » Je sais ce qui m’attend… Là encore je m\'exécute tel que le souhaite mon Maitre. Je bascule la tête en arrière et lui tends mon visage et je patiente en fermant les yeux et la bouche. Le Maitre tient sa pine à moitié débandée entre son pouce et son index et la pisse jaillit, m’arrosant par de petits débordements de pisse. Des jets brefs et puissants viennent percuter ma peau. Il m'en arrose copieusement le visage mais aussi tourne autour de moi et m'en répand sur les épaules, les fesses et devant, sur le torse et la bite, partout sur le corps, en criant : - « Un vrai sac à pisse. Tu es vraiment une grosse salope toi ! » Entre chaque jet, il aime me parler : - « Regarde ce que je te fais, t’es qu’un pourri de bastard. » - « T’es un simple urinoir, ma chienne puante !" - « Tu sers vraiment à rien, sous-homme ! Sauf à donner du plaisir aux Vrais !" - « Je fais ce que je veux de toi, t’es ma lope soumise !", etc. Moi, je ne réponds pas, j’encaisse juste les jets d'urine sur mon corps. Le Maitre a du plaisir, je le ressens bien, il adore me voir là, humide, humilié, ruisselant de son urine. Ma respiration est saccadée et il observe les gouttes qui tombent de mon visage. Tant pis pour moi, il pense, ce n’est qu’une merde à utiliser comme on veut ! Il me laisse là, quelques longues minutes, entièrement mouillé ; je m'imprègne de cette odeur de pisse et surtout j'ai froid et je tremble. Mais pour Le Maitre l'idée de faire durer l'humiliation est exquise ! Malgré le froid, c’est un moment enchanteur. Quel plaisir de me faire uriner dessus par Le Maitre et de lui offrir mon humiliation. Quel bien-être il a ! Et je suis heureux pour lui ! Enfin, je le remercie pour ce qu’il me fait subir. Mais le Maitre me retourne : - « Attends grosse merde, c'est pas tout à fait fini. D'abord, tu vas te branler devant mo, sous mes ordres comme la larve que tu es et que je récompense car tu as bien servi ton Maitre ! Puis tu t’essuieras et tu retourneras à poil à 4 pattes avec la laisse jusqu'à la voiture, comme un bon toutou que je promène, grosse putasse ! » En effet, ce n'est donc pas fini. Je suis un peu épuisé mais je dois continuer servir LM comme une bonne chienne, bien salope et à dispo ! Le Maitre dit : - « Appuie-toi dos à l'arbre et branle-toi fort et durement en t'insultant de toutes les façons ! » Je m'installe, fatigué, et commence à me branler doucement mais Le Maitre n'est pas content : - « Plus fort connasse et je veux t'entendre ! » Je redouble de vigueur et exprime en même temps tout ce qu'il me passe dans la tête : - « Suis qu'une grosse merde, au service de Mon maitre, pour les Vrais Hommes !» ; - « Suis ton bon soumis passif et docile qui a besoin d'un bon Maitre patient et dur comme toi. J'ai besoin de me soumettre ! » - « Suis totalement soumis, totalement prêt, extrêmement et totalement ouvert pour vous, usez et abusez de moi, ô Maitre, humiliez-moi et baisez-moi brutalement... mon corps est totalement, et sans exception, la possession de mon Maître et il peut en faire ce qu'il veut, y compris des éléments de forte douleur et l'humiliation... » - « Suis une Merde, une Lope vide-couilles... qui doit subir Bondage torture des seins et couilles Humiliation Chaines Stress Attachements et Positionnements durs… » Je me mets à énumérer toutes les pratiques que j’ai subies ou que je connais de nom : - « …Electro Poppers Pisse Cordes Colliers roue dentée Cire chaude de Bougie croix sexuelle de St André pinces a poids Pinces à linge sur tout le corps Féminisation Forcée Sissification Groupe scènes d'abus Exhibition Cages urinoir humain Esclavage et Vente forcée Fessées Captif BDSM pinces chinoises boules piquantes Tirage des couilles, bouche et cul ouverts et offerts… » Je crie tout ça en me branlant à mort et soudain je lâche tout sous le regard moqueur du Maitre qui me traite de tous les noms qu'il connait ! C’est bon : j’ai rarement joui aussi excellemment ! J’aime jouir dans la souffrance et l’avilissement ! Alors que je croyais LM satisfait et prêt à repartir, il m’annonce que je dois lécher mes gouttes de sperme sur l’herbe. Je regarde, ne les vois pas car où ont-elles giclé ? Mais LM insiste, alors je me mets à genoux et lèche l’herbe à divers endroits… - « Bon ça va, putasse de merde ! » Ce jeune Maitre aime beaucoup l’insulte. Il manque d’une certaine emprise mais ça viendra avec l’expérience. - « À quatre pattes maintenant, on va à la voiture ! » Je m’installe et lui tends la laisse ; il la saisit et tire brutalement dessus. J’essaie de suivre le rythme… mais c’est dur et j’ai mal car je m’érafle sur les mains et les genoux ! À la voiture, je peux me rhabiller, l'odeur de pisse m'enveloppant et je me trouve dégueulasse car je n'aime pas mettre mes vêtements propres sur mon corps sale ! Je le dis au Maître. Il se marre franchement : - "T'es qu'une pute, lope et chienne qui se vautre dans l'abjection et la déchéance et tu voudrais être propre, salope ?" Je prends conscience qu'il est inutile de tenter de lui expliquer les subtilités des personnalités et des jeux que l'on assume. Tant pis ! En montant dans la bagnole, Le Maitre me dit : - « Salope, tu conduis les couilles à l'air ! » Je m'exécute sagement et rapidement, craignant une réaction brutale du jeune Maitre. Rien ne se passe, il semble repu comme après un bon repas où l’on est relaxé et reposé et on n’a plus envie de quoi que ce soit. Mes couilles à l’air, je ramène le Maitre ; enthousiaste, il me dit : - « Vite, salope d'esclave, une autre séance ! » - « Oui, Maitre, avec grand plaisir dès que je peux ! J'ai obéi à AUTORITAIRE en faisant ici le récit ici de notre plan
Extrait video OFFERT par Univers Black
Dans les vestiaires
J'ouvre la porte du vestiaire et je vois un gars de ma classe marocain, 1m86 matte de peau entrain de se branler. J'étais choqué par la scène, je savais pas comment réagir à ça.. il a levé la tête et m'a dit d'un air détendu Je me demande si j'aime encore les gars... Les cours de sport c'était pour moi une horreur. Car je me forçais pour ne pas mater les gars dans les vestiaires parce que j'étais certain que j'allais bander a 100%. Alors j'essayais à chaque fois de me dépêcher et de sortir le plus vite des vestiaires. Un jour, le prof m'a demandé de ranger le matériel, 10-15 mon après j'ai terminé et je me suis dirigé aux vestiaires. J'ouvre la porte du vestiaire et je vois un gars de ma classe marocain, 1m86 matte de peau entrain de se branler. J'étais choqué par la scène, je savais pas comment réagir à ça.. il a levé la tête et m'a dit d'un air détendu ( et bein ça a l'air de te plaire ) j'avais pas vu que j'étais entrain de bander (c'était cours d'athlétisme et du coup j'étais en cycliste. Je savais pas quoi lui dire, il m'a rassuré en disant c'est rien et que c'était limite un compliment de voir que je bandais. Il m'a dit ça te dit on va se branler ensemble dans les toilettes. Pris au dépourvu j'ai dis oui. On commence à se branler et 5 min après on commence à se toucher je prenais un plaisir incroyable. Je vous laisse imaginer, vous découvrez votre sexualité avec un marocain dans les vestiaires et vous vous branlez dans la douche. Malheureusement la sonnette a sonné et il m'a demandé de rien dire à personne. Chose que j'ai fait.
Extrait video offert par DomiAddict
DELIRE SUR DOMIADDICT Histoire gay publiée le 18/02/2024
Je m'emmerde et j'ai la flemme d'aller traîner à l'extérieur pour trouver une bouche ou un cul de keum pour soulager mon envie de baiser nocturne. Je branche la cam sur mon ordi et je vais sur Chaturbite histoire d'essayer de lever un bogoss en sexcam pour du plaisir virtuel. Ca m'est déjà arrivé de me taper des branlettes en camtocam avec de bonnes lopes pour me faire monter la pression. Mais là, je pense que ça va être le kiff. Webcam pour l'image, micro casque pour le son, je vais pouvoir me soulager la teub avec une baise virtuelle en cybersexe. Je tape mon pseudo spécial cam « rebeu tbm och en cam » et ça mord direct sur le site. En trois minutes chrono je suis submergé de messages de mes prêts à partager mon kiff en échange de gros plan sur ma grosse bite déjà raide. Je me pause dans mon fauteuil de bureau en caleçon, torse nu, les plaquette d'abdos bien cadrées à l'image. J'ai plus qu'à faire mon choix dans les nombreux messages. Je capte un soit disant bogoss très passif et sportif et quand l'image s'affiche, je tombe sur un vieux bedonnant avec une petite queue en branle. Le batard ! Apparemment des mythos aussi sur ce genre de plan ! Je chope alors un cousin dont le pseudo est « Jamal exhib pour couz » et la je suis pas déçu. Putain c'est une bombe atomique le Jamal ! Il me fait bander à fond direct ! Le couz est trop bien et il exhibe son corps de ouf devant la cam assis sur un fauteuil les jambes écartées sur les accoudoirs. Sa grosse teub de rebeu bande à mort et il se titille le trou de balle devant mes yeux écarquillés. Je trique grave sous mon caleçon et je sors mon zob pour lui donner en gros plan devant ma cam. On dialogue en même temps et je peux entendre mon cousin qui kiffe devant notre séance d'exhib. C'est trop le pied la cyber baise. C'est comme si le keum était avec moi et il est prêt à satisfaire le moindre de mes désirs. Jamal se caresse les pecs devant moi et se frotte sa chatte de lope comme un ouf. Je m'astique le zob comme un malade et mon cousin me chauffe en me disant des trucs bien hards sur ma grosse queue qui lui retourne le cerveau. Et la ou le gars me bluffe, c'est quand il sort un gode d'au moins 25cm ! Il en veut c'est clair et je vais lui en donner. Je prends ma voix de lascar et je lui ordonne de se goder devant la cam. Il s'exécute sans broncher et commence à se rentrer le gode dans le cul en gémissant comme une salope. J'ai la teub super raide et je me paluche comme un ouf, guidant mes coups de poignets au rythme de son cul qui s'enfonce sur le gros gode en latex. C'est trop le kiffe ! Je le chauffe tout ce que je peux à distance : vas y couzin rentre le bien ! branle toi bien le boule avec en pensant à ma grosse teub ! Jamal prend son pied et se branle le trou comme un malade, le gode rentre et sort de son anus dilaté et il branle en même temps sa bonne teub de 19cm bien épaisse. Tout à coup il se met à hurler et se jouit de supers jets de sperme de lascar sur le torse, le gode enfoncé à fond entre les fesses. Je suis tellement och que je crache aussi et je m'envoie directement une rasade de sperme qui atterrie dans mon cou. On continue à se mater tous les deux recouverts du jus de nos teubs circoncises et ramollies devant les cams. Je peux être tranquille pour mes études d'hiver, j'aurai de quoi m'occuper avec ma webcam. Alors si tu veux me rejoindre à l'occase sur Chaturbite, recherche « rebeu tbm och en cam » et on pourra se taper un bon trip tous les deux !
Extrait video offert par DomiAddict